Trouver l’équilibre, l’équilibre entre le féminin et le masculin, le rationnel et l’intuitif, le blanc et le noir, la nuit et le jour, … Ces principes non exhaustifs qui existent par opposition, sans l’un comment l’autre pourrait-il exister ou se définir? Accepter que l’un et l’autre font un dans l’unicité du grand Tout! La science ET le sacré.
La science sans intuition est ennuyeuse, est comme une ligne droite sans courbe ni détour, comme des oeillères qui ne permettent de regarder que dans une seule direction. Et le sacré sans un minimum de science c’est perché. C’est plâner sans toucher terre et on peut très vite s’y perdre. Perdre le contact avec la réalité et l’ici et maintenant. La science est de l’ordre des fréquences bêta dans notre cerveau. C’est la rapidité des cycles par minute qui en définit la fréquence. Le bêta est nécessaire pour que le cerveau puisse fonctionner et par définition pour que nous puissions fonctionner dans notre monde et notre société. Que serait-on sans pouvoir analyser, organiser, réfléchir, déterminer, définir, commenter, etc.? Dans la société moderne dans laquelle nous vivons, c’est la science qui l’emporte sur tout. Pourtant des miracles ont bien lieu? Des évènements que la science ne peut expliquer? Et la science ne s’est-elle pas déjà trompée à plusieurs reprises, nous obligeant à revoir nos positions?(dormir avec son enfant, sans son enfant, allaiter son enfant en suivant un horaire ou non, le faire dormir sur le dos ou sur le ventre, pour n’en nommer que quelques-uns). Elle ne détient pas toutes les clés car elle n’observe qu’une facette de ce qu’elle souhaite mettre en évidence. La science coule les choses dans le béton « c’est comme ça! » Elle est rigide et met les choses dans des cases pour plus de facilité d’organisation. C’est sans courbe ni détour, ou presque. Elle est liberticide. D’elle découle les « il faudrait », « tu devrais », on y va tous de notre science, n’est-ce pas? Pourtant se laver les mains est une évidence pour respecter l’hygiène et ne pas véhiculer de pathogènes. On le sait, c’est couler dans le béton. Tout n’est peut être pas à réfuter non plus… Et le sacré alors? Le sacré est de l’ordre des autres fréquences dans lesquelles notre cerveau peut fonctionner. Il existe les fréquences alpha, thêta, delta et gamma. (Je ne rentrerai pas dans le détail ici parce que ce n’est pas le sujet de cet article, nous y reviendrons plus tard.) Le sacré nous permet de ressentir, de percevoir, d’imaginer et de vibrer la magie de ce monde. N’y a t’il pas une touche de magie dans la rencontre des gamètes qui créeront un bébé dans le ventre maternel? Et l’éclosion d’un bouton de rose? Et le chant des oiseaux? Et les réseaux racinaires des arbres qui communiquent et s’entraident? La magie de ce monde, c’est le sacré de ce monde. Pour pouvoir la percevoir il faut ralentir… Ne pas être en permanence dans le « Faire » (Do) mais plonger dans « l’Être » (Be). Utiliser nos sens, habiter notre corps, tout en gardant le contact avec le mental qui commente pour pouvoir l’inscrire dans notre mémoire. Un fragile équilibre entre les deux… J’aime à imaginer le symbole du Yin et du Yang pour vous expliquer comment je vois ce mariage de la science et du sacré. Dans l’un, une touche de l’autre et inversément. Accepter que ceci forme un tout. Et l’appliquer en toute chose. Embrasser sa part d’ombre pour laisser entrer la lumière. Comment cela se transpose dans notre approche de l’enfantement? La science et le sacré peuvent-ils cohabiter dans la venue au monde de l’Humanité? Depuis des millénaires, la vie s’épanouit sur Terre. Depuis des millions d’années, des femmes enfantent, des enfants viennent au monde, grandissent, s’épanouissent, deviennent parents à leur tour, meurent. Depuis ce temps ancestral où nos ancêtres sont nés de l’évolution de la vie sur notre belle planète, la nature a régné en reine. Aujourd’hui et dans notre culture, la naissance est souvent présentée comme une étape dangereuse dans le parcours des familles. Une étape qui nécessiterait la prise en charge médicale de la femme qui donne naissance à son petit. A quel moment avons-nous à ce point arrêté d’avoir confiance en la nature ? Et en ces savoirs ancestraux hérités et transmis depuis la nuit des temps ? En la capacité naturelle des femmes à enfanter et à celle des bébés à naître ? Bien évidemment, la connaissance scientifique et médicale a permis de mieux comprendre ce qui se passe dans le corps de la femme qui s’ouvre pour permettre à son enfant de passer de son milieu aquatique au milieu terrestre. Ces connaissances ont parfois permis de sauver des vies, celle de la mère comme celle de l’enfant. Et ces découvertes sont précieuses ! Mais le savoir intuitif l’est encore bien davantage. Ne l’oublions pas, par pitié. Redonnons aux femmes la considération qui leur est due. Ce sont elles qui enfantent l’humanité, elles qui portent la vie, la nourrisse et lui permettent de s’épanouir en leur sein avant de soutenir, d’accompagner le passage au-travers de leur corps pour faire naître la magie (l’âme agit). L’enfantement est un processus naturel ! Arrêtons donc de troubler la nature à outrance sous prétexte d’apporter de l’aide, de prendre en charge. Les femmes qui enfantent n’en ont pas besoin, surtout si on les accompagne avec bienveillance, confiance et qu’elles ont conscience du cheminement intérieur qui accompagne leur être à cette ouverture. La médecine - cette aide, gardons-la pour les situations qui la nécessite réellement. En troublant le processus naturel par ces interventions inutiles, on le perturbe, créant ainsi des complications et un enchainement en cascade d’actes médicaux. La médecine ne devient-elle pas alors la cause principale des complications et n’augmente-t-elle pas justement le taux de mortalité maternel et fœtal ? L’enfantement est un processus à prendre en compte dans toutes ses dimensions (physique/bio-mécanique, émotionnelle, psychique, environnementale, énergétique, spirituelle). On ne peut donc se résumer à agir sur l’aspect corporel sans prendre en compte l’ensemble des interactions qui découlent de ce vortex que la femme traverse pour accompagner son enfant à naître !
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La souveraineté dans nos choix
Accueillir un enfant, c’est recevoir une bonne dose de magie dans sa vie. Accueillir un enfant, ça chamboule au plus profond des cellules, ça encourage notre Être à s’ajuster, à se recentrer, à se révéler. Lorsque l’enfant s’en vient, il apporte dans ses valises une clé merveilleuse, celle qui ouvre notre cœur. Ouvrir son cœur pour rencontrer et accueillir un nouvel Être, c’est déjà s’accueillir soi-même. Se rencontrer dans toutes ses dimensions, prendre conscience de ses forces et ses ressources, accueillir ses peurs et ses blessures, en prendre soin. Devenir parent nous ramène à nos lignées, à notre propre lien avec notre mère, avec notre père, avec notre enfant intérieur. Souvent, on remarque alors que l’on porte encore les traumas du passé. C’est donc une occasion parfaite pour prendre soin de nous, de nos blessures, les reconnaitre et les soigner pour mieux renaître. Car oui, devenir parent, c’est renaître à Soi. Renaître à une nouvelle version de nous-même, plus consciente et plus profonde. Bien sûr, idéalement, il faudrait avoir cette conscience de Soi avant l’arrivée d’un bébé. Mais c’est parfois justement cette période de gestation qui nous ouvre l’accès à la profondeur de notre Être. Apprendre à se connaître pour mieux re-naître ! Co-naître, naître ensemble, cheminer, se soutenir, se questionner, se positionner. Apprendre à identifier et exprimer ses besoins, ses limites. Oser Être ! C’est aussi durant cette période de gestation que se posent les bases de notre parentalité, prendre ses responsabilités, faire des choix éclairés et les faire respecter. La grossesse, la naissance, ce n’est que le commencement de ce grand cheminement. Car tout au long de notre parcours de parent nous évoluons, nous nous découvrons, nous réajustons pour nous épanouir au plus près de nos aspirations. Aussi, commençons avec quelques pistes de réflexion : Quelles sont vos plus belles forces ? Et vos plus grandes craintes ? Qu’aimeriez-vous transmettre à votre enfant ? Qu’avez-vous reçu de positif de vos parents que vous souhaiteriez donner à votre tour à votre enfant ? Et au contraire, y a-t-il des choses que vous aimeriez éviter…dont vous avez vous-même souffert ? Prenez le temps de réfléchir à tout cela, d’en parler à votre partenaire, de vous écouter l’un l’autre, de vous accueillir mutuellement dans vos réflexions et prises de conscience…bien sûr, avec respect et bienveillance. Quel rapport me direz-vous entre ces questions sur ses forces et ses blessures, sur ce qu’on a reçu de nos parents et le fait de se préparer pour l’accouchement ? Hé bien en fait c’est peut-être déjà là que la lumière devrait être faite, car devenir parent ne se résume pas à un accouchement. Certes on en parle beaucoup, c’est une préoccupation importante des futurs-parents et des futures-mères particulièrement. Et elles ont raison car en améliorant la façon dont les bébés viennent au monde, c’est un impact sur toute la société qui finira par se traduire. Pourtant il ne faut pas perdre de vue que l’accouchement n’est qu’une étape dans la vie de l’enfant comme dans celle de ses parents. Ainsi, prendre soin de Soi, apprendre à se connaître, à panser ses blessures, va contribuer à faire de nous des parents plus solides, conscients d’eux-mêmes et du chemin qu’ils ont à parcourir, capables de s’accompagner avec bienveillance, comme ils apprendront à accompagner leur enfant et à l’accueillir dans les difficultés qu’il pourra rencontrer, lui souffler comment prendre confiance en lui et lui transmettre le plus puissant des outils : l’amour. S’aimer Soi-m’aime pour aimer l’autre. Co-naître, connaitre… Voilà une clé importante pour préparer l’arrivée de l’enfant ! Se connaitre soi-même, connaitre son partenaire, connaitre la physiologie de l’enfantement et du développement de l’enfant pour pouvoir co-naître avec lui. Être parent signifie recevoir la responsabilité d’accompagner au mieux un autre Être, qui au départ dépend énormément de nous, afin qu’il puisse peu à peu déployer ses ailes et voler de manière harmonieuse à la découverte du monde. Dans ce cadre, nous, parents, sommes très souvent amenés à prendre des décisions concernant nos enfants. Et ça commence avant même leur venue au monde : faire un dépistage de trisomie, accepter de passer une nouvelle échographie, accoucher dans un hôpital ou ailleurs,… Pour chacune de ces questions, comme pour tant d’autres, comment répondre si l’on reste dans l’ignorance ? Chacun de nos choix a un impact. Qu’est-ce-qui en découle de positif ? Et de négatif ? S’informer… s’informer pour pouvoir faire des choix conscients, reprendre son pouvoir décisionnel et ne plus dépendre des décisions prises par des tiers sans en avoir compris le sens. Ainsi, retrouver sa souveraineté ! À travers Immanaissance et les différents outils que nous mettons à votre disposition, notre but est de vous transmettre des informations complètes ainsi que des pistes de réflexion afin que vous puissiez approfondir cette exploration de vous-même et prendre ensuite la direction qui vous correspond. Il arrive un moment dans la vie d'une femme Où elle balance ses vieilles habitudes comme des chaussures jetées dans le fond d’une poubelle Où elle déchiquette sa liste de "il faudrait" et d'obligations et où les attentes irréalistes sont brûlées dans un incinérateur Il arrive un moment dans la vie d'une femme Où l'approbation des autres, autrefois si précieuse, se transforme à présent en piécettes dans le fond de son porte-monnaie Où la quête de l'autre est désormais remplacée par une quête de soi et que les tentacules parentales des traditions ne définissent plus sa vérité à elle. Il arrive un moment dans la vie d'une femme Où son désir de s'intégrer à la foule se dissout Où sa compulsion maniaque d'être parfaite s'évapore et où son obsession d'être la plus populaire s'éviscère. Il arrive un moment dans la vie d'une femme Où elle dit simplement « ça suffit » et où « faire semblant », l'artifice et la ruse l’écœurent profondément et où le besoin d’avoir toujours raison, le dogme et la supériorité la repoussent. Il arrive un moment dans la vie d'une femme où elle ne craint plus le conflit mais y fait face avec audace comme une vraie lionne Où elle garde son authenticité aussi férocement qu'elle garderait ses bébés Et où elle abandonne le rôle de sauveuse sachant qu'elle ne peut que se sauver elle-même Il arrive un moment dans la vie d'une femme où elle ne se recroqueville plus dans l'ombre de son indignité Où elle ne se fait plus toute petite pour que les autres se sentent grands Où elle troque le rôle de victime pour le rôle de co-créatrice Il arrive un moment dans la vie d'une femme Où elle occupe sans vergogne et vaillamment sa souveraineté ultime Où elle se sent enfin prête à revendiquer sa place dans le monde Et où elle redéfinit la compassion comme de l’amour pour soi et ce sans équivoque Vient un moment dans la vie d'une femme Où elle se libère enfin de ses dépendances enfantines envers les autres Où elle ose se réécrire un nouveau mandat qui dit de vivre pour elle-même. Celui-ci dit Je libère en moi l'indignité et la peur Je divorce de la servilité et de la passivité Je me défais de l'inauthenticité et des relations ambiguës Je mets fin à la prétention d'être quelqu'un que je ne suis pas Et à partir de maintenant je déclare que Je ferai appel à ma puissance la plus noble J’embrasserai pleinement mon autonomie Je célébrerai ma valeur la plus profonde J'incarnerai mon courage le plus féroce Et je manifesterai le moi le plus authentique C'est maintenant Je suis prête à m'éveiller à ma renaissance Traduit librement par Laura, du poème qu’on peut retrouver dans le livre du Dr Shefali « Radical Awakening » L’accompagnement des femmes dans l’aventure de la Vie qui viendra à naître à travers elle, est à notre sens, une histoire de lien et de relation d’âme à âme et de cœur à cœur.
Se rencontrer, ressentir le lien pour savoir si nos âmes se (re)trouvent et/ou s’harmonisent. Tout se passe dans les premiers instants déjà. Pas le temps de laisser le mental débattre sur l’éventuelle connexion psychologique/sociale/culturelle que nous sommes programmés à percevoir, pas de « gentil», « sympa », « intéressante », ou autre qualificatif descripteur… mais plutôt une sensation de bien-être, de confiance, une sensation de se retrouver comme si peut être, on se connaissait déjà(?). Se parler et se voir, mais se voir vraiment, au travers de ce qui se dit, voir la couleur de qui nous sommes chacun/chacune et se sentir en sécurité avec l’autre dans tout ce qu’il est. Parfois c’est instantané et parfois on n’entend pas immédiatement la mélodie de l’âme de l’autre. On tend l’oreille du cœur, on l’ouvre pour accueillir la réponse à cette question « ça colle entre nous? ». Quand la connexion ne se fait pas malgré le temps et la mise en sourdine de l’égo, l’accompagnement peut se faire. à la condition de connaître ses propres limites et oser le dire tout en respectant l’autre pour que la confiance, pilier d’un accompagnement réussi, soit honorée et respectée. Dans ce cas, il faut avoir l’humilité de l’accepter et de vibrer la transparence de cette réalisation ou de laisser le temps faire son œuvre, ce qui peut amener à une ouverture timide au départ. Mais parfois, comme par magie, les âmes se (re)connaissent et le fil d’or d’âme à âme et de cœur à cœur se présente naturellement. Avoir l’honneur de suivre ce fil, d’aller plus loin dans la rencontre de l’autre, avoir la curiosité de voir toutes les couleurs, nuances de cette personne et percevoir la beauté de qui elle est, d’entendre sa chanson et de se laisser bercer par elle, c’est un cadeau de la vie. Aussi, pour accompagner un couple, une famille, une femme dans la grande aventure de la Vie, nous ouvrons notre cœur afin de saisir la chance de connecter d’âme à âme et de cœur à cœur. C’est comme un feu d'artifices, c’est chaud et lumineux. La prochaine étape c’est d’oser se montrer, c’est « être » authentiquement, c’est être vulnérable et présenter ses forces et ses faiblesses « voilà qui je suis, peux-tu me montrer qui tu es? », un échange d’énergie, un équilibrage de ce que l’on donne et de ce qu’on reçoit en retour. Lorsqu’on accompagne la grossesse, la naissance, le postpartum ou tout autre passage transformateur immanent, il semble juste et honnête de se placer à côté de la personne et dire « je suis là » et qu’elle sache qui est ce « je ». Être totalement présente à leur côté et se centrer sur ce temps en leur compagnie. Devenir des alliées sur ce chemin, prendre une bretelle du sac à dos parfois quand, lors du voyage , le vécu peut devenir lourd à porter, et puis parfois oser dire « moi aussi aujourd’hui, je suis fatiguée » parce que se donner l’autorisation, c’est la donner à l’autre. Juste être soi pour connecter avec le « soi » de l’autre et lui laisser la liberté de faire entendre la petite voix de ce « soi ». Lors des rites de passage de la Vie vient un moment où faire tomber le masque permet de lâcher les constructions, les programmations, permet de vivre à 100% l’expérience sans devoir se soucier du ‘« qu’en dira-t-on ». C’est pouvoir dire « je n’en peux plus » ou « je suis trop forte » sans avoir peur de l’interprétation de ces confidences, pouvoir être nu corps et âme et ne pas le vivre comme une mise en danger mais plutôt comme une continuité de ce qui se construisait déjà en amont. Vivre l’expérience dans une totale liberté, sans projection ou attente et savoir que l’autre sera là, on le sait, on l’a senti, on l’a compris en reprenant ce fil d’or de la connexion qui relie nos cœurs et nos âmes. Le lien de cœur à cœur est une connexion qui nous permet d’aller plus loin en nous-mêmes en se sentant accompagné, reconnu, respecté dans le processus que l'on vit. Et n’est-ce pas là le rôle d’une Doula? Une présence, un témoin du chemin parcouru, un soutien sans faille pour le chemin qui reste à parcourir? Cette connexion peut également être activée en amont d'une rencontre pour se mettre dans une posture d'ouverture du cœur. Elle peut aussi être utile lorsque la distance nous sépare de l'Autre. Vous aussi, vous pouvez utiliser cet outil merveilleux : Au sein du couple, pour vous permettre de vous recentrez dans un quotidien bien remplit, de redonner de l’espace à votre lien d’amour et de rebooster votre complicité. Pendant la grossesse, pour établir la connexion avec le bébé in-utéro, pouvoir l’accompagner et lui transmettre amour, confiance, sécurité et ce peu importe le déroulement de la grossesse ou de l’enfantement. Avec vos enfants, pour être pleinement disponible et pouvoir accueillir leurs émotions, être présent auprès d'eux même lorsque la distance vous sépare, comme en post-partum, lorsque votre bébé ne se trouve pas à vos côtés (reprise de travail, sieste, crèche, …). Et même avec vos animaux pour capter leurs besoins, une chose qu’ils ont envie de vous transmettre, ou simplement leur offrir voter amour. Voici alors comment procéder... Prenez le temps de vous ancrer, de sentir vos racines plonger dans la Terre-Mère et accueillir toutes les belles énergies qu’elle vous offre. Laissez remonter ces énergies bienfaisantes à travers toutes les cellules de votre corps jusque dans votre cœur. Puis accueillez l’énergie céleste, comme une pluie divine qui déverse sa lumière douce et apaisante sur vous. Là aussi, accueillez cette lumineuse énergie jusque dans votre cœur. Savourez le mélange qui se crée alors, cet équilibre entre Terre et Ciel. Vous devenez alors canal au travers duquel vous laissez ces énergies circuler librement. Puis connectez-vous à l’Être avec qui vous souhaitez établir ce lien de cœur à cœur. Imaginez alors un faisceau lumineux qui jaillit de votre cœur pour rejoindre celui de votre destinataire. Un lien d’amour, de tendresse, de douceur, d’énergie positive. Ce lien de cœur à cœur est un canal d’authenticité. Après avoir pris le temps d’être pleinement à l’écoute de vous-même, vous vous dédiez ainsi à l’écoute de l’autre, au partage sincère et profond, à l’accueil de ses besoins, des peurs et des craintes qui sont déposées, mais également des joies qui sont partagées. Le lien de cœur à cœur représente un moyen de communication d’âme à âme, sans parasitage du mental. Un tuyau d’arrosage au travers duquel vous pouvez partager les bonnes énergies qui circulent en vous. Dans cet état d’écoute et de partage, les mots, les gestes, l’intention peuvent ainsi être totalement orientés vers l’Être auquel vous vous connectez. Être pleinement là, en lien avec l’autre, le voir avec le filtre de l’amour inconditionnel, ressentir ce qui est juste, transmettre de puissantes et belles énergies en fonction des besoins. Si aujourd’hui, nous avions envie de vous parler de cet outil merveilleux et magique qui fait partie de notre quotidien de manière si naturelle, c'est parce que c'est un outil à la portée de tous et pourtant d’une grande puissance. Le lien de cœur à cœur pourrait d'ailleurs être le symbole de notre rencontre au sein d'Immanaissance ! Dès les premiers instants, nous avons ressenti au plus profond de nos Êtres cette agréable sensation de chaleur et de lumière, comme si nous nous retrouvions, comme si nos âmes se reconnaissaient et célébraient cette retrouvaille. L'évidence de construire ensemble était là. Nous nous réjouissons beaucoup de vous rencontrer, de cœur à cœur... |
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